Bekenntnisse eines App-aholics

Da lässt man sich einmal gehen… und bums. Schon ist man abhängig. Seit unserer L.A.-Reise hat sich der iPad heimlich in unseren Alltag eingeschlichen. Zuerst sollten uns die vielen Apps nur über den langen Flug retten. Aber leider haben sie ihren Job so gut erledigt, dass es auch am Boden nicht mehr ohne ging. Ich denke nur an den Abend beim Italiener in Beverly Hills. Der war zwar alles andere als beschaulich, aber immerhin haben wir es mit Hilfe des Forest Flyers geschafft, unsere Pasta einigermaßen gesittet im Restaurant zu verzehren. (Zwei Tage vorher mussten wir unser Abendessen mittendrin abbrechen und schmachvoll das Lokal verlassen, weil Adèle am Tisch einen Wutanfall bekam – und der iPad im Hotel lag). Aber die Blicke des älteren Pärchens am Nebentisch sprachen Bände. Völlig entgeistert, wie wir ein Kind in dem Alter schon am Computer spielen lassen können. Ganz schlechte Eltern. Jaja. Dabei wären die wahrscheinlich die ersten gewesen, die mit Tablets in Restaurant gegangen wären, hätte es die damals schon gegeben!  Wir haben uns jedenfalls gut zugeredet. Dass der iPad nur eine Ausnahme sei, nur im absoluten Notfall zu verwenden, blah blah blah… Und dann kommt der Moment, an dem man den Tatsachen ins Auge blicken muss… Die Apps kommen inzwischen jeden Tag zum Einsatz, als Gutenacht-Geschichte, beim Abendessen, (wenn Adèle mal wieder nicht essen will) oder wenn mal wieder der Notfall eingetreten ist (also ständig). Unser Gewissen beruhigen wir damit, dass wir natürlich NUR pädagogisch wertvolle Apps benutzen. Nein, im Ernst. Es gibt wirklich ein paar ganz tolle Spiele und Bücher fürs Tablet, die ich nur weiterempfehlen kann. Und bevor ich mich jetzt um Kopf und Kragen rede: hier sind meine Tipps! Ach ja, und wer noch andere, schöne Apps kennt, bitte unbedingt im Kommentarfeld posten! Der nächste Notfall kommt bestimmt.

On se laisse aller une fois… et bam. On est complètement dépendant. Depuis notre voyage à L.A. l’iPad s’est installé petit à petit dans notre vie quotidienne. Au début je n’avais acheté toutes ces applis que pour nous sauver du long trajet en avion. Malheureusement elles ont tellement bien fait leur boulot qu’elles sont devenues irremplaçables par la suite. Ce fut le cas lorsque nous avons voulu passer une soirée dans un restau italien à Beverly Hills. On n’a pas trop eu le temps de s’attarder sur les lieux, mais grâce au Forest Flyer on a moins pu manger nos pâtes de manière à peu près civilisée (Deux jours avant, on avait connu l’enfer en devant interrompre le repas en plein milieu et quitter le restaurant tous gênés car Adèle nous avait fait une crise pas possible – et l’iPad se trouvait à l’hôtel). Mais je vous laisse imaginer les regards du vieux couple à côté de nous, horrifiés de nous voir laisser jouer un enfant de cet âge avec un ordinateur. Les mauvais parents… alors même qu’ils auraient été les premiers à ramener une tablette au restau, s’il y en avait eu à cette époque. En tout cas on a essayé de se persuader que l’iPad n’était qu’une exception, à n’utiliser qu’en cas d’urgence, blah, blah, blah… mais il y a un moment où il faut arrêter de se mentir… on utilise l’iPad tous les jours, le soir pour aller au lit, pendant le repas (quand Adèle fait semblant de ne pas avoir faims) et en cas d’urgence (donc tout le temps). Et pour ne pas culpabiliser on se dit qu’on n’utilise seulement des applis qui représentent un intérêt pédagogique (évidemment!). Mais plus sérieusement il y a de très jolis jeux et bouquins pour les tablettes que je peux vraiment recommander. Et avant que je ne coure à ma perte : voici une liste de mes favoris. Ah oui, et si vous en connaissez d’autres, n’oubliez pas de m’en faire part dans les commentaires. La prochaine crise arrivera sans doute plus vite qu’on ne le pense!

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